EDITO
Quoi de plus naturel que rêver ? Nous en faisons tout un chacun l’expérience plus ou moins fréquemment grâce à nos lectures, les films que nous regardons ou tout simplement par notre imagination. À la manière d’Alice, nous tombons dans un abîme imprévisible où nos songes peuvent aussi bien devenir fantasmagorie séduisante que sinistre cauchemar. À peine avons nous eu le temps de les réaliser, qu’ils s’estompent, laissant place à de nouvelles rêveries. Dans ce numéro, nous vous invitons à découvrir l’apparence protéiforme des songes qui, quelque soit la manière de les dépeindre, demeurent évanescents.
Vous trouverez des exemplaires papiers en salle d'étude, au CDI et en salle des professeurs à consulter sur place !
– La rédac'
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