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L’écriture inclusive: une création nécessaire au service des égalités femme-homme ?

Dernière mise à jour : 9 juin 2022




 

Le 6 mai 2021 le ministre de l’Éducation Nationale, Jean-Michel Blanquer, décidait de l’interdiction de la mise en place de l’écriture inclusive dans les établissements scolaires. On peut en effet lire dans la circulaire de ce jour: «Dans le cadre de l’enseignement, la conformité aux règles grammaticales et syntaxiques est de rigueur […] Il convient de proscrire le recours à l’écriture dite ‘‘inclusive’’, qui utilise notamment le point médian pour faire apparaître simultanément les formes féminines et masculines d’un mot employé au masculin lorsque celui-ci est utilisé dans un sens générique.» Ce à quoi rajoute, la maison mère de notre langue qu’est l’Académie française, dans une lettre ouverte dès le lendemain: « Au moment où la lutte contre les discriminations sexistes implique des combats portant notamment sur les violences conjugales, les disparités salariales et les phénomènes de harcèlement, l’écriture inclusive, si elle semble participer de ce mouvement, est non seulement contre-productive pour cette cause-même, mais nuisible à la pratique et à l’intelligibilité de la langue française. »


Bien que l’Académie ou J-M. Blanquer ne mâchent pas leurs mots quant à l’écriture inclusive, celle-ci n’en reste pas moins encore maintenant (et en dépit des décisions qui entérinent son interdiction dans de nombreux domaines), une notion qui déchaîne les passions dans les médias, à l’Université, dans le monde politique et parmi les linguistes. Un débat qui semble alors loin d’être terminé.


Mais de quoi parle-t-on ?


L’écriture inclusive est loin d’être un simple débat de grammaire ou de syntaxe; elle apparaît avant tout comme un débat politique et social. Les personnes qui promeuvent l’écriture inclusive se présentent en effet comme animées du bon sentiment, qui est celui d’inclure et de mettre tout le monde sur un pied d’égalité avec les mots que l’on utilise. Un débat qui s’est progressivement (notamment par popularisation médiatique), cristallisé sur le thème de l’égalité homme-femme. Les promoteurs de l'écriture inclusive avancent en effet que la langue française, dans ses règles courantes et actuelles, rend les femmes moins importantes sinon invisibles au profit du masculin. La langue française serait alors une langue sexiste. Ce qui influerait à distiller une pensée misogyne sous-jacente dans la société (et ceci dès le plus jeune âge), jouant de facto un rôle de frein pour une amélioration et une diffusion efficace des égalités femme-homme.

Le questionnement des règles actuelles de la langue, notamment de celle qui fait grincer le plus de dent: « le masculin l’emporte sur le féminin », apparaît comme légitime pour les « pro-inclusive ». Comme l’explique notamment Eliane VIENNOT (historienne de la littérature, critique littéraire française et notamment autrice de Le language inclusif, pourquoi, comment ?, 2018), dans un entretient au Figaro le 30 mars 2021; il apparait légitime de mettre en question ces règles puisque « ce sont les grammairiens masculinisées qui ont fait disparaitre le mot autrice », avancent-elle. En clair, la justification s’opère sur deux points distincts. Le premier étant une justification historique. Avant le XVII°s, et comme cela est avancé par beaucoup de « pro-inclusive » (dont Eliane VIENNOT), la règle du « masculin qui l’emporte sur le féminin » n’était pas de vigueur puisque l’on accordait les noms avec les adjectifs en fonction de leur place dans la phrase ou encore en fonction de l’importance des termes. Nombreux sont alors mobilisés par les « pro-inclusive » les auteurs qui, comme Racine, illustrent ces idées. Ce dernier qui écrivait par exemple dans son oeuvre Athalie de 1691: «Armez-vous d'un courage et d'une foi nouvelle» ou encore «Surtout j'ai cru devoir aux larmes, aux prières, consacrer ces trois jours et ces trois nuits entières.» Ainsi il est avancé l’argument que cette règle (qui provoque le plus d’émoi), n’était pas toujours de vigueur et qu’ainsi il ne serait que peu dérangeant de la supprimer. D’autant qu’elle apparait, pour ses détracteurs, comme le reflet d’un monde d’homme qui, à un moment donné, aurait décrété que le masculin prévaudrait; les académiciens ayant promu l’accord selon « le genre le plus noble »: le masculin. Règles du XVII° et du XVIII°s que l’école publique aurait alors entérinées à la fin du XIX°s. Eliane VIENNOT vient ainsi contrecarrer les discours de bien des garants de la langue française « d’aujourd’hui », dont beaucoup avancent qu’il « est dans la « tradition » de faire ainsi », que le masculin l’a toujours emporté en grammaire sur le féminin. L’autre justification, quant à elle, apporte à cette dimension historique une dimension sociale qui caractérise la langue elle-même. Beaucoup des « pro-inclusive » se placent à contre-courant de ceux qui penseraient que la langue ne doit pas évoluer pour rester compréhensible, et ne pas ainsi chambouler les codes de valeur d’une langue considérée, par beaucoup, comme l’une des plus dures au monde. L’argument est justement que la langue est un organe indissociable du corps social et que la nôtre d’ailleurs, (comme beaucoup d’autres dans le monde) n’a cessé d’évoluer à travers le temps: pourquoi alors un blocage aujourd’hui ?



 

L’écriture inclusive ou l’art de détourner les yeux des véritables problématiques inégalitaires ?

Samuel Beckett pouvait affirmer que « se donner du mal pour les petites choses, c’est parvenir aux grandes, avec le temps ». C’est d’ailleurs là tout le nerf de la justification, in fine, de l’écriture inclusive: stopper de développer l’image d’une supériorité masculine qui serait, soi-disant, incarnée par la langue elle-même. Image qui serait donc inconsciemment intégrée dans les esprits de chacun par la langue. On peut lire d’ailleurs sur le site motscles.net :


« Cette pratique s’appuie sur deux convictions : changer les mentalités est nécessaire pour faire progresser l’égalité; pour y arriver, il faut agir sur ce par quoi elles se construisent : le langage. »

Un point « d’accord » semble avoir été trouvé entre les militants de l’écriture inclusive et une bonne partie de la population: la féminisation des nom de professions. L’une des justifications possibles afin de justifier ce « consensus », tient au fait qu’en réalité le débat de fond est loin d’être le même. Pour y voir plus clair il faut opérer la même scission qui est opérée dans les débats autour de la question: séparer vigoureusement le fait de vouloir féminiser davantage les noms de professions et le fait de vouloir généraliser, en plus grande instance, l’écriture inclusive dans le langage et l’écriture courante. Il est reconnu par beaucoup que cette féminisation des noms de métiers est nécessaire, sinon un préalable, afin d’équilibrer les usages du masculin et du féminin dans le discours. Soit plus encore, pour lutter contre les inégalités de genre. En effet, l’appellation genrée que porte de nombreuses professions jouent, selon certains comme Franck NEVEU (professeur à la faculté de lettres de la Sorbonne), plus fortement et à juste titre sur le développement de l’idée selon laquelle certains métiers sont davantage « fait pour les hommes ou les femmes ». Ce qui, si on ne change pas cette pratique, concourrait à ne pas aller dans le sens d’une vision plus égalitaire de l’embauche en ce qui concerne l’un des premières critère de discrimination: le sexe. Une idée qui, plus que de prendre l’ascendant, est devenue une véritable composante à mettre sur la table des projets de lois comme en témoigne la circulaire du Premier ministre du 21 novembre 2017, relative aux règles de féminisation et de rédaction des textes publiés au Journal officiel de la République. Celui-ci appel à féminiser les titres, les métiers et les fonctions dans les textes publiés au journal officiel. On peut y lire:

« s'agissant des actes de nomination, l'intitulé des fonctions tenues par une femme doit être systématiquement féminisé sauf lorsque cet intitulé est épicène ».

À quoi s’ajoute le 28 février 2019, l’Académie française énonçant qu'il n'existe aucun obstacle de principe à la féminisation des noms de métiers et de professions, adoptant à une large majorité le rapport sur la féminisation des noms de métiers et de fonctions.


L’opposition et les débats les plus virulents tiennent au fait que bon nombre des partisans de « l’inclusivisme » dénoncent la prétendue mainmise du patriarcat sur les emplois de la langue française, et revendiquent par le biais de diverses modifications de cette langue la visibilité, dans les échanges privés comme institutionnels, notamment des femmes qui seraient « effacées sous la coupe masculine ».

Déjà, Franck NEVEU illustre là encore le principal fond de commerce des « anti-inclusive » lorsqu’il prononce le 30 mars 2021 pour le Figaro: « […] La langue, même «policée», ne saurait prémunir contre les idéologies discriminatoires ou les injustices sociales. Il est curieux d’avoir à rappeler au XXIe siècle que le mot arbre et l’arbre ce n’est pas la même chose. La réalité à laquelle s’attache l’écriture dite «inclusive» n’a rien à voir avec la langue. Elle s’attache à une réalité sociale et politique. » Ce qui n’est pas sans faire écho à ce que rappel Jean-Claude Milner dans un entretien à la revue Cités (PUF, n° 86, p. 129): «À ceux qui croient qu’en généralisant l’écriture inclusive on aura changé la réalité je pourrais répondre qu’ils retrouvent très exactement ce que Marx dénonçait comme idéologie: image inversée de la réalité. On invente une convention orthographique, pour ne pas regarder la réalité en face. […] ». L’écriture «inclusive» serait alors un détournement des vraies problématiques inégalitaires affirmant « non pas ce qui est mais ce qui devrait être ». Ainsi la langue mise au service du « ce qui doit être », apparaitrait davantage comme un instrument idéologique trop attaché à la réalité extralinguistique; comme un instrument mis au service de l’expression verbal du dogmatisme.


Une autre problématique concerne surtout le débat entre « sexe » et « genre », que les « pro-inclusive » sont accusés à tout va de confondre. Si on prend simplement la règle de grammaire telle qu’on la connaît, tout le monde peut affirmer que les mots ont un genre et non pas un sexe. Mais plus encore que ce genre, conventionnel en français, s’articule entre les deux pôles que sont le masculin et le féminin. Le genre étant une catégorie grammaticale, comme le nombre, ou encore dans les langues flexionnelles, le cas (c’est-à-dire la fonction). Ces catégories ont un rôle morphosyntaxique. Elles permettent d’établir les relations entre les mots au sein de l’énoncé ou encore les accords. Ainsi Franck NEVEU affirme-t-il qu’« elles n’ont aucun effet sur les représentations du monde ». Il cite notamment l’exemple que si au restaurant une personne commande un lapin aux pruneaux, celle-ci ne demande pas qu’on lui serve un lapin mâle. Par ces explications il revient sur ce qui fait le discours commun des « anti-inclusive »: il n’y a aucune corrélation à établir entre le genre des mots et le sexe de leur référent. Il affirme notamment:

« La langue est faite de signes. Le signe linguistique est caractérisé par la linéarité et l’arbitraire: la linéarité, parce que deux signes ne peuvent être articulés simultanément ; l’arbitraire, parce qu’il est conventionnel. Le déficit de réflexion grammaticale devient préoccupant dans la société française. L’Ecole devrait tenir son rang sur ce point, et ne rien lâcher, sauf à accepter l’idée que des courants de pensée puissent faire fond sur cette ignorance ».

Plus encore, les mesures avancées par les « pro-inclusive » afin de rendre le langage courant moins « sexiste », tel que la mise en place du point médian pour faire ressortir dans les mots, à l’écrit, leur souche féminine ou encore le rétablissement de la règle voulant l’accord de l’adjectif avec le nom dont il est le plus proche dans la phrase; sont présentées par de nombreux « anti-inclusive » comme une complication supplémentaire de la langue. Julie NEVEUX (normalienne, agrégée d’anglais et Maîtresse de Conférence en linguistique à l’Université Paris-Sorbonne) favorable à l’écriture inclusive, rappelle elle-même d’ailleurs que : « Le point médian [par exemple] peut en effet rendre la lecture plus difficile. Cet aspect de l’écriture inclusive, qui est purement graphique, (et) n’a d’ailleurs que très peu de cohérence morphologique […] ». À quoi elle soutient l’idée que ces réformes n’ont pas de véritable avenir dans le milieu scolaire affirmant que « l’usage, comme toujours, fera son travail: il ne retiendra que ce qui se pratique aisément. ». L’écriture inclusive étant par beaucoup des opposants (qui s’appuient notamment sur des études scientifiques sur la question), non seulement un problème majeur pour les personnes souffrant de handicap (malvoyance, dyslexie, dyspraxie), mais bien au-delà, pour les enfants en apprentissage d’une langue présentée comme déjà suffisamment complexe et mal maîtrisée par beaucoup (notamment dans le monde scolaire).

Franck NEVEU affirme alors que la généralisation de l’écriture inclusive relèverait du non-sens: « l’inclusivisme linguistique strict n’est pas seulement intenable à l’oral, il l’est tout autant à l’écrit. Il est aisé de constater que son application systématique ne dépasse guère les quelques lignes d’ouverture d’un texte. Le reste s’égare dans des incohérences qui soulignent le fait que son usage systématique est impossible, et que l’écriture «inclusive» n’est finalement qu’une position doctrinale ». Ce qui vient appuyer un autre discours des « anti-inclusive » affirmant que s'il est vrai que la langue française à toujours évolué dans ses structures et ces règles, elle l’a fait au gré des locuteurs et non pas en fonction des règles établies par des « groupes de pressions » .



 


En ce qui concerne plus particulièrement le lien entre écriture et fait social, l’un des plus influent sur le discours linguistique de fond de l’écriture inclusive est sans-doute André PERRIN (auteur et agrégé de philosophie). Celui-ci martèle et tente d’ailleurs de répondre à la question qu’il est légitime de se poser: à quoi bon agir sur la langue ? Pour lui, et comme pour beaucoup « d’anti-inclusive » la soi-disante distillation d’inégalités à travers la langue n’a pas lieu d’être posée et n’existerait pas. Il affirme d’ailleurs qu’« on n’a jamais fait maigrir un obèse en mettant son ombre à la diète ». Métaphore où la langue serait alors l’ombre de la réalité extralinguistique, et qui serait donc influencée par elle.

Ce qui dérange en premier lieu, c’est sans-doute cette distorsion, cette ressemblance imparfaite et démesurée, ou au contraire trop étroite pour ce qu’elle est censée représenter, alors qu’on rêve de langues-reflets à travers lesquelles saisir l’essence de chaque culture. Ce qu’André PERRIN ne cesse de présenter comme une vision erronée.

Il prend d’ailleurs l’exemple de langues étrangères pour appuyer son propos: « le japonais qui ne s’embarrasse pas de genre grammatical, distingue cependant les différents types de mangas en fonction du public ciblé, l’un des critères étant le sexe : parmi eux le Shōnen, destiné aux garçons, véhicule des valeurs comme la force et le courage, quand le Shōjo, qui cible les filles, raconte principalement des histoires d’amour… C’est un peu plus complexe en réalité, mais choisir une thématique particulière en espérant toucher un public plutôt féminin ou plutôt masculin, c’est une pratique qui existe indépendamment de la langue d’écriture, avec ou sans genre grammatical. »


Ainsi pour beaucoup d’opposants ce nouveau débat sur l’écriture inclusive est présenté comme un fait qui vient, une fois de plus, détourner le regard des véritables problématiques en ce qui concerne les inégalités de sexes. De nombreuses personnes (notamment celles opposées à l’écriture inclusive et à sa généralisation dans l’écriture courante), avancent que ce nouveau discours, plus que d’être en faveur d’une réelle évolution de la société vers une situation plus enviable, est bien davantage dangereux. Dangereux dans le sens où il est avancé que cette fameuse règle du « masculin qui l’emporte sur le féminin » ne concoure pas à développer chez les jeunes-hommes une vision machiste et sexiste de leur relation avec le sexe opposé. L’argument avancé est celui que cette règle fait tellement partie du quotidien et est si profondément ancrée dans les mécanismes inconscients de l’écriture et du langage, qu’elle relèverait d’un réflexe, et non d’une manifestation consciente d’une quelconque supériorité. Nicolas Tournadre d’ailleurs (professeur de linguistique à l’Université d’Aix-Marseille) affirme: « Peut-on donc encore parler de « camisole » si l’on n’est pas conscient de la porter ? ». En clair, cette fameuse règle serait tellement un automatisme qu’elle ne susciterait en aucun cas l’éveil d’une quelconque pensée machiste ou sexiste chez les enfants. Bien qu’aucune étude scientifique ne le prouve pour le moment, de nombreux parallèles sont effectués avec les jeux vidéos pour appuyer ce propos. De nombreuses études telle que celle menée par exemple par Benjamin Burroughs (professeur de médias émergents à l’Université du Nevada à Las Vegas), affirment qu’il n’y a aucun lien de causalité entre le développement d’un caractère de violence chez un individu et le fait de jouer couramment à des jeux de guerres (tel que Call of Duty).

Il affirme d’ailleurs: « Beaucoup de joueurs se fâchent quand ils perdent ou ont l’impression que le jeu a « triché », mais cela ne mène pas à des sorties violentes ». Le parallèle est effectué afin de montrer que finalement, le point névralgique de la question reste l’éducation. Un enfant qui joue à des jeux de guerre, par exemple, n’a pas une propension plus élevée à réaliser une tuerie de masse ou de battre sa femme qu’un autre qui lit des livres, s’ils reçoivent tous deux « les bonnes valeurs éducatives ». Les fameux individus qui, aux États-Unis, entrent dans les universités armés et tuent leurs camarades de sang froid, ne le font pas sous l’effet des jeux de guerre comme avait pu le dénoncer Donald TRUMP (et tel que l’explique Benjamin Burroughs). Les études scientifiques ayant toujours décelées, chez ceux-ci, une détresse psychologique ou sociale. Ainsi le nouveau discours sur l’écriture inclusive est présenté comme périlleux par beaucoup en ce qu’ils semble ne pas se focaliser sur le bon « point du problème »: l’éducation. Ainsi les « anti-inclusive » affirment qu’un petit garçon n’a aucune raison de penser qu’il est supérieur à la femme, si cela est une valeur enseignée par ses parents et le milieux scolaire, en dehors de toute autre considération notamment linguistique.


Caractère d’ailleurs qui, selon beaucoup des « anti-inclusive », est un fait qui mériterait plus le débat que celui sur l’écriture elle-même: quelle est la véritable place donnée à l’enseignement civique, notamment sur l’égalité, au sein du système scolaire ? Pour nombre d’entre eux l’école doit consacrer davantage de temps à l’enseignement de ces valeurs de vie essentielles que sont la tolérance, l’égalité ou la liberté afin de peut-être, pallier un déficit dans ces domaines chez les jeunes-enfants dont les parents auraient enseigné des « valeurs contraires ».


« La langue n'est pas misogyne. Ce sont les gens qui le sont, c'est la société qui est sexiste. » (Élianne VIENNOT)

Damien CHASSIGNEUX - 15 décembre 2021

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1 commentaire


Fc Fevre
Fc Fevre
20 déc. 2021

Salut, j'ai trouvé ton article vraiment passionnant ! Ton organisation était très clair, ton style était extrêmement agréable à lire et j'ai eu une agréable impression de neutralité, dans le sens où tu n'avais pas cherché à imposer un positionnement ou pour ou contre l'écriture inclusive, et que tu avais essayer d'adopter un point de vue objectif. Et le fait que tu utilises des références précises rend très accessible la vérification des informations, franchement hâte de lire tes prochains articles !!

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